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B o t a n i k '  H o m

visuel botanik'hom bis

Elles sont deux en une :
Mathilde "de l'Arbre" raconte
et "Olga Radicelle" débusque les voix de la "Nature"

grâce à ses stéthoscopes végétaux, traducteurs d'écorces,

et autres instruments d'écoute étonnants.
Ensemble, écouteuse et diseuse font entendre les histoires

des plantes, des insectes, des pierres...

Lors de cette conférence contée incongrue, nous découvrons
Comment les Premiers Hommes sont venus vivre sur Terre
Comment l'Alchimiste Scarabée transforme la bouse en or,
Comment les Roses poussent dans le jardin du Roi...

spectacle

durée

public

lieu

extraits sonores

contes et intermèdes sensoriels sensationnels

1 heure ondulante

tout public à partir de 6 ans

en intérieur ou en balade contée

montage botanik'hom

quand on effeuille les couches des mots...

botanik'hom poudre scarabée
botanik'hom visuel
botanik'hom olga radicelle

On dit « Nature et Culture », comme si quelque chose de fondamental les opposait,
On entend « l’Homme et la Nature », comme si l’une devait se soumettre à l’un,
comme si l’un devait être coupé de l’autre,
comme si cette frontière imaginaire existait pour de bon.

Gary Snyder dit "La nature n'est pas un endroit à visiter, c'est chez nous".
Et plus encore... François Terrasson raconte que la nature, c'est nous.
Si l’Homme était, bel et bien, la Nature, et la Nature l’Homme ?

Ce point d’interrogation a parcouru, tel un ruisseau sous-terrain, mes recherches et divagations.
C’est le souffle qui me pousse à dire ces histoires, amérindiennes, africaines, hindoues, arméniennes…
Ces voix sont les racines d’un même arbre,

elles se mêlent pour faire entendre les murmures d’une Nature qui est, aussi, (peut-être?), notre nature, profonde.
Une nature parfois sauvage, piquante, boueuse, puante, mais aussi belle et chantante.
Une nature, qui serait juste un concept qui n'existe que parce que nous nous en sommes extraits.
Peut-être est-il temps, avec nos petits moyens d'humanimaux, de reconstruire les ponts, brouiller les pistes,

(r)ouvrir les por(t)es ?

Mais trêve de sérieux :
les contes aiment à s’habiller de pétillant, et d’un grain de folie,
et parce qu’il ne s’agit pas de présenter la vie telle qu’on la connaît,
mais bien d’en raconter la « réalité » poétique,
cette conférence-contée est cousue de rêve et de farfelu.

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